Il est temps de lâcher-prise !

Il est temps de lâcher prise

Le lâcher-prise est une façon de ne rien attendre, ne rien vouloir ni désirer excessivement, savoir aller au-delà de l’attachement. C’est le contraire du contrôle.

Si nous sommes préoccupés par un problème particulier et que nous y pensons de manière obsessionnelle, il occupe notre esprit et gâche notre quotidien.

Le lâcher-prise consiste à revoir notre façon de penser afin d’aborder le sujet de manière différente et laisser les événements prendre place plus naturellement, sans vouloir se les approprier et vouloir les dominer. Continuer à lire … « Il est temps de lâcher-prise ! »

Femmes de notre vie : Vous êtes la source de la vie !

L’eau est multiple et singulière, diverse et unique.

En mouvement perpétuel, elle ne cesse de se transformer en vapeur, en pluie, en glace, en neige, en onde douce des ruisseaux et des fleuves, en mer, en océan.

Elle est parfois l’eau claire des sources bienfaisantes, l’eau calme et croupissante des étangs immobiles, l’eau rapide des cascades rafraîchissantes et des crues dévastatrices, l’eau des nappes apaisante, l’eau des houles déchaînée et irritante.

Mais l’eau est l’eau, elle est la source de la vie… Continuer à lire … « Femmes de notre vie : Vous êtes la source de la vie ! »

Entendre ne veut pas dire écouter car l’ouïe est un sens mais l’écoute est un art.

Ecoute

Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu’un. Ce simple geste démontre à une personne qu’elle est importante pour nous et que ce qu’elle dit nous intéresse. Voici des approches qui favorisent une meilleure écoute:

Savoir se taire

Avez-vous remarqué que les conversations sont remplies d’expressions du genre: « C’est comme moi quand… » ou bien « Ça me rappelle ce qui m’est arrivé… »? Bien souvent, nous recherchons dans ce que nous entendons des occasions de parler davantage de nous-même. Écouter, c’est avant tout savoir se taire.

Se concentrer sur l’autre

Écouter, c’est laisser tomber tout ce qui nous préoccupe pour donner son attention entière à l’autre. C’est le laisser diriger totalement la conversation. Essayez de vous concentrer sur ce que votre interlocuteur dit plutôt que de penser à ce que vous allez répondre. Écouter, ce n’est pas de chercher à répliquer, mais plutôt laisser l’autre trouver réponses à ses propres questions.

Favoriser la confiance

Écouter c’est créer un environnement relationnel dans lequel l’autre se sent en confiance. Votre interlocuteur doit savoir que ce qu’il vous dit sera traité avec respect, et que les choses confidentielles resteront entre vous deux. Ceci crée un environnement favorable aux confidences et permet à votre interlocuteur, s’il le veut, d’aborder des sujets très personnels.

Être ouvert

Écouter c’est accueillir l’autre avec respect tel qu’il se voit lui-même. C’est être ouvert sans juger à tous les sujets, à tous les comportements, à toutes les expériences et à toutes les solutions. Écouter, c’est surtout laisser à l’autre le temps et l’espace de trouver la voie qui est la sienne. Ne vous attendez pas à ce que les gens réfléchissent comme vous et soient sensibles aux mêmes choses que vous. Nous devons accepter comme une richesse les différences de l’autre. Écouter, ce n’est donc pas vouloir que l’autre soit comme nous et pense comme nous, c’est plutôt apprendre à découvrir les qualités de l’autre. C’est être attentif à ses préoccupations non pas aux nôtres.

Comprendre et partager

Écouter c’est comprendre et autant que possible partager les sentiments de l’autre. Afin de réaliser ce partage, remémorez-vous une situation similaire à celle que votre interlocuteur décrit. Par exemple, si un ami nous raconte un événement qui l’a embarrassé, remémorez-vous la dernière fois que vous avez été humilié. Puis, au moment opportun, décrirez brièvement ce que vous pensez comprendre des ses sentiments. Par exemple, vous pouvez lui dire: “Est-ce que tu te sentais sévèrement humilié?“. Évidemment, il est capital de poser ce genre de questions avec parcimonie et délicatesse.

Conclusion

La pratique de l’Écoute peut devenir une ouverture sur le monde parce qu’elle permet de comprendre ce que les autres vivent vraiment. C’est une expérience enrichissante sur le plan humain et personnel. Lorsque que vous avez un élan de générosité et que vous vous demandez quoi donner; alors donner de votre temps en écoutant les gens autour de vous. L’écoute nécessite du respect, de la persévérance, de la patience, et énormément d’ouverture d’esprit; mais en revanche, elle permet de recevoir beaucoup.

L’intuition

Avez-vous déjà vécu cette expérience : vous vous levez le matin et tout d’un coup vous avez la certitude que quelque chose d’énorme va se produire. Sensation souvent furtive et vite oubliée. Puis au cours de la journée, et à votre grande surprise, votre intuition va finalement se réaliser ? Lorsque vous avez une connaissance immédiate sur un sujet sans fondement logique ou sans avoir recours au raisonnement, c’est ce qu’on appelle l’intuition.

Beaucoup de personnes disent que seul un petit nombre de gens est doué d’intuition. Les astrologues insistent même sur le fait que les personnes nées sous le signe  du Poisson sont naturellement intuitives. Mais de nombreuses études ont démontré que n’importe qui peut développer son intuition.

Peut-être vous demandez-vous pourquoi il est important de développer son intuition ? Pourquoi ne pas laisser votre état émotionnel et psychologique tel qu’il est ? Tout d’abord, l’intuition favorise une bonne communication. Elle vous rend plus sensible aux gens autour de vous. Elle vous empêche souvent de blesser ceux que vous aimez parce que vous êtes suffisamment intuitif pour les comprendre.

L’intuition vous rend également beaucoup plus créatif. Elle libère plus de créativité quel que soit votre moyen d’expression. Enfin, l’intuition a un pouvoir de guérison. Ce pouvoir de guérison ne doit pas être pris au sens physique du terme, mais en fouillant profondément dans votre âme pour éradiquer certaines énergies négatives enfouies.

Dévéloppez votre compétence sociale par ces 3 attitudes

Empathie

La Gratitude

Nous nous accordons tous une valeur, à nous même, et nous aimons que les autres reconnaissent cette valeur. Sauf que socialement ce sont les autres qui définissent votre valeur.

Quand ce sont des jugements venant de notre sphère privée, ou de notre entourage proche, ces jugements peuvent avoir une gronde influence significative sur nous. D’où l’importance de bien choisir les personnes qui nous entourent. Celles qui entrent profondément dons notre vie. C’est un point crucial pour l’allure que nous voulons donner à notre vie. Ces personnes-là sont celles sont qui nous influencent le plus.

Venons-en à la gratitude. Qui n’aime pas recevoir la reconnaissance des autres? Être reconnu pour ce qu’il y a de meilleur en lui, pour ce qu’il apporte aux autres, pour ce qu’il créer, pour sa générosité. La gratitude génère du bien-être et renforce l’estime de soi du donneur et du receveur.

Développer notre compétence sociale c’est savoir reconnaitre la valeur aux êtres, mais aussi des choses. Il s’agit de faire preuve d’ouverture d’esprit. Faites preuve de gratitude vis-à-vis de ce que vous offre la vie.

Attribuer une valeur aux êtres, c’est aussi reconnaitre les personnes compétentes. Une des bases de la compétence sociale c’est d’ailleurs d’accorder confiance aux personnes compétentes dans leur domaine.

Si vous avez besoin d’un service et que la personne capable de vous rendre ce service vous donne pour conseil d’avancer dans une direction qui n’était pas à votre esprit, prêtez attention ces conseils, il est fort probable que cette personne ne souhaite que vous rendre que le meilleur service.

En faisant confiance aux personnes compétentes dans leur domaine, nous économisons du temps, de l’énergie, et de l’argent. Alors, pourquoi s’en privé?

Faire preuve de gratitude. Cela vous fera passer dans la catégorie des gens dont la compagnie est un réel plaisir.

L’empathie

Encore une règle ultra importante. L’empathie c’est la base de la compétence sociale. Si vous n’êtes pas capable d’empathie vis-à-vis de vos interlocuteurs, si vous n’êtes pas capable de vous mettre à la place de l’autre, comment voulez vous être habiles socialement ? Si vous voulez influer socialement et réussir à obtenir ce que vous voulez dans la vie, vous avez d’abord besoin de comprendre les autres et qu’elles sont leurs besoins.

Quand vous êtes en interaction avec les autres, demandez-vous en même temps ce à quoi la personne peut bien penser. Essayez d’éprouver, de comprendre et de ressentir ce que ressentent les autres. C’est une qualité qui se travaille et se développe.  Cette qualité et parfois même trop développer chez certain qui se transforment en de véritables éponges émotionnelles. Ce qui peut être embêtant. Mais il vaut mieux trop que pas assez.

La base de la communication c’est d’être capable de se mettre à la place de l’autre. Se souvenir du nom des personnes que vous rencontrez est une marque d’empathie. Le prénom de chaque personne a pour elle une grande signification. Notre prénom est pour nous le mot qui résonne comme le plus beau du monde. Quand nous entendons quelqu’un nous appeler par notre prénom, nous lui accordons notre attention. Ne pas avoir d’empathie c’est réduire considérablement la portée de sa compétence sociale.

La générosité

Dans la vie, ne vous souciez pas de recevoir, pensez d’abord à donner, juste par générosité. Être dans l’attente des autres est un très bon moyen de se faire du mal tout seul et de détruire son énergie. Et sans énergie, c’est le début de la fin.

Si vous voulez recevoir beaucoup, donnez beaucoup plus. La règle de la réciprocité humaine fait que les gens se sentent obliger de vous renvoyez quelque chose quand vous leur donnez. Même s’il ne vous avait rien demandé, et même si ça ne répond pas forcément à leurs désirs. C’est la réciprocité, le fait de se sentir débiteur.

Donnez de vous, semez des graines qui un jour donneront des fruits. Il n’y a pas de construction de réseau social sans commencer par donner sans rien attendre en retour. Il y a deux genres de personnes celles qui donnent pour recevoir, et celles qui donnent sans rien attendre. Vous avez besoin de faire partie de la seconde catégorie si vous voulez être en position avantageuse socialement.

La générosité est une valeur très importante dans les relations sociales. Forcez-vous à donner sans rien attendre en retour. Ne tenez pas les comptes entre ce que vous donnez et ce que vous recevez. Ne pensez pas à simplement connaitre un maximum de personnes, juste pour croire que vous avez plus de valeur sociale. Pensez d’abord à ce vous êtes en mesure de donner et comment vous le donnez. Posez-vous ces questions: que pouvez-vous apporter aux autres? Et comment faites-vous appel aux autres quand vous avez un besoin ?

Bien sûr il y a des personnes à qui nous donnons et qui ne nous renvoient jamais rien en retour. Il est alors sain de définir la limite à partir de laquelle cela va générer de la frustration chez vous. À vous de définir votre propre limite suivant votre tempérament et votre propre personnalité. À vous de définir quel type de relation vous souhaitez, et ce que vous ne souhaitez pas. À vous de définir si la relation en vaut la peine.

Si vous voulez pouvoir beaucoup donner, alors vous avez besoin d’avoir une vie intéressante, des choses à raconter, des anecdotes, des expériences. Bref, vivez pleinement. Faites profiter les autres de votre énergie. Ne jouez pas les égoïstes, l’énergie s’épuise lorsqu’on ne la conserve que pour soi-même. C’est en partageant votre énergie que les autres vous la renvoient, alors les énergies s’additionnent, et chacun en à plus en ayant donné.

Pour finir, l’énergie c’est un peu le carburant de la compétence sociale. Sans énergie rien ne se passe, pas de mouvement, pas de dynamique.